Je suis loin d'apprécier les romances, mais il m'arrive de craquer.
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Je fais en sorte de garder l'ordre alphabétique des prénoms.
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Scarlett Alexandra Ripley
Nous étions resté sur la phrase « demain est un autre jour » dans "Autant en emporte le vent",
mon côté fleur bleue, sans doute, m'a donné envie de savoir ce qu'il se passait.
Scarlett va-t-elle réussir à reconquérir le cœur du seul et unique amour de sa vie?
Un autre auteur a alors imaginé la suite.
On la retrouve: belle, fière, intransigeante, passionnée et volontaire.
Elle place à plus de fragilité et de sensibilité.
Elle nous emmène alors dans le pays de ses originies où elle vivra une nouvelle guerre.
Mais son passé de jolie petite écervelé est toujours présent et lui joue des tours. Heureusement, tout se finira bien.
L'essence du roman originel en ce qui me concerne a été respecté. On reste dans cet univers un peu raciste, réac’.
Il ajoute une touche d'humanité à la belle Scarlett.
Il ne me reste plus qu'à connaître un jour la version du camp Buttler...
J-R Ward La confrérie de la dague noire
Une saga composée de 13 tomes il me semble, je me suis arrêté à 8.
Que les mauvaises langues s’arrêtent tout de suite ! Ce n’est pas le niveau d’écriture qui est en cause.
C’est très bien écrit. Moi qui ne suis pas du tout romance et encore oins romance érotique, je trouve que ça passe très bien.
Bon, les âmes prudes qui voient déjà des histoires de fesses dans les livres de Guillaume Musso, abstenez-vous ;
les sujets masculins ont quelques problèmes à maîtriser leurs hormones.
Si je me suis mise à cette série, c’est parce qu’à l’époque lointaine où j’étais stagiaire en librairie,
j’avais quelques difficulté à conseiller de la fantasy spécifiquement pour jeunes filles. Ben oui, « la légende de Drizzt »,
il paraît que c’est un truc de garçon. Comme Barjavel,
c’est plus de la science-fiction et que ce n’est pas sûr qu’aujourd’hui ce soit vraiment branché,
j’ai repéré que des adolescentes lisaient cela alors j’ai testé et je me suis laissée prendre dans les filets de cette romance pas comme les autres.
C’est l’histoire d’un groupe de guerriers vampires en charge de la protection des leurs.
Chaque tome élabore le portrait de l’un deux qui tombe amoureux. C’est de la bit-lit.
Comme je l’ai précisé c’est aussi de la littérature érotique, avec quelques passages assez hard (l’un d’eux donne dans le sado-maso).
L’auteur dresse un portrait passionnant des différents protagonistes.
Même si le schéma narratif reste similaire sur chaque volet, l’intrigue elle ne cesse d’évoluer.
La raison de mon désamour ? Tout simplement le comportement du roi des vampires.
Ben oui, c’est tellement prenant qu’on ne peut pas s’empêcher de prendre part au combat et e vivre avec cette petite bande.
Et le roi des vampires je vous assure il est imbuvable. Il est aveugle et n’a pas le droit de se battre pare qu’il est le roi.
Il n’arrête pas de pleurnicher sur son sort. Je vous en prie : Achevez-le !
Si vous avez le courage d’aller plus loin que moi, s’il vous plaît dites-moi s’il change de comportement ou si l’auteur finit par se résoudre à le supprimer.
Le diable s'habille en Prada Lauren Weisberger
Bon je n’aime pas ce genre de roman à l'eau de rose. Mais là, je n'ai pas pu faire l'impasse.
Je vous explique: Si lire ça me rebute, regarder à la TV ce genre de truc pour me déconnecté j'aime bien.
Mais voilà j'ai eu un problème, je m'endors devant le film avant la fin. Donc j'ai rassemblé tout mon courage et je suis allé à la bibliothèque l'emprunter.
Euh... comment vous dire... J'ai été déçu. Pourtant, ça promettait d'être drôle, et il y a des passages drôles.
Je n'ai tout simplement pas accroché et puis le pétage de câble d'Andréa tant promis n'était pas là.
Je voulais qu'on me raconte l'afflue incontrôlable d'émotions qui s'empare de la jeune fille.
Je voulais pouvoir l'imaginer lutter désespérément contre ses pulsions meurtrière vis à vis de sa patronne, voir la transformation des traits de son visage.
Bref, s'il y a eu ça ne m'a pas marqué. Je n'ai pas vu le grand spectacle que j'attendais par rapport à ce qu'on m'avait raconté.
Donc au final, c'est une comédie bien gentillette qui passe à côté de certaines choses à mon sens.
Autant en emporte le vent Margaret Mitchell
Scarlett est une jeune femme passionnée et volontaire. Elle est persuadée d'être amoureuse d'un homme qui n'est pas libre. Par vengeance elle se marie.
La guerre de Sécession éclate.
Elle va montrer un courage hors du commun.
Elle va se battre pour les siens, pour conserver ses privilèges, garder le rythme de vie qu'elle veut.
Trop tard, malheureusement, elle réalisera qu'elle aime depuis le début son dernier mari qui la quittera.
Cet homme qu'elle avait idéalisé n'était qu'une illusion pour l'éloigner de sa peur de souffrir par amour.
Plus qu'une histoire d'amour et d'opportunisme, c'est une histoire de courage, du combat d'une personne pour vivre malgré toutes les épreuves.
Une belle écriture bien construite.
J’ai adoré le caractère de cochon de Scarlett