Nice. Un meurtre étrange dans un lycée. Des indices plausibles sur le mobile du crime. Et un étudiant au comportement étrange.
Quelque part dans les Pyrénées. Une disparition mystérieuse. Le corps finalement retrouvé. Un accident de montagne sans doute.
Un CD arrive de la part de l’homme décédé chez son frère, posté peu de temps avant l’événement tragique. Le contenu ? Un appel au secours.
Les deux affaires sont-elles liées ? Et pourquoi ? A vous d’ouvrir le livre, de tourner les pages.
Que puis-je vous dire de plus ? Valentin Musso, dans ce premier roman, exploite le filon des enfants dits précoces et le regard que la société peut porter sur eux :
des singes savants bons qu’à ingurgiter des connaissances pour les recracher ensuite sur commande.
J’ai eu l’impression qu’il mettait en exergue la souffrance de ces enfants/ado puis adultes peuvent éprouver à être finalement traiter
comme des rats de laboratoire plus que comme des êtres humains avec des émotions.
J’ai eu également le plaisir de me balader dans des rues de Nice que je connais.
Il est donc plus facile d’imaginer une partie de l’intrigue quand on connait un peu les lieux.
Mais rassurer vous, cela ne m’a pas empêché de rêver à d’autres paysages.